La France des patois et dialectes
A sauvegarder
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LA FRANCE DANS LE MONDE
Notre position doit nous rappeler la réalité vis à vis
des grandes puissances, que ce soit en population
ou en richesse.
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La France
se classe au 22ème rang mondial pour la population (1% de la planète)
Et au 47ème
rang pour la superficie (0.4% des terres immergées)
On est
riche en France (ou considéré comme) à partir de 3.860€ mensuels, soit trois
fois de Smic, pour une personne seule.
On est
considéré comme pauvre avec un revenu inférieur à 941€ par mois
La classe
moyenne se situe entre 1.495€ et 2.693€ par mois
20% des
Français appartiennent à la classe aisée (+ de 2.693€ mensuels)
(Infos revue Notre Temps du 6.3.2024)
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VIEILLE FRANCE
A l’heure où tout bouge, change, évolue, pas toujours au et en mieux, on entend parfois cette expression : être « Vieille France ».
Pour certains c’est être démodé, vieux jeu, dépassé, obsolète.
Pour d’autres c’est une tradition de respect, de valeurs. Et aussi une continuité des héritages, des anciennes coutumes, avec le rappel de nos racines.
De nos jours où on confond vitesse et précipitation, il y a un oubli de l’esprit de nos parents et plus loin encore de nos civilisation et civilité.
Les idées actuelles ne sont pas toujours à ignorer mais rien n’interdit de les apporter et de les utiliser avec la tolérance de l’autrefois.
Que ce soit par la parole familiale, politique, cultuelle et culturelle, la courtoisie, le savoir vivre, la politesse, la galanterie doivent survivre.
Il y a va du respect de l’être humain et de sa nature.
Ignorer ces valeurs apporte l’isolement dans la façon d’exister, s’installe alors une réticence à l’antériorité, ce qui apporte une évolution pas toujours acceptable.
Et pourtant comme beaucoup je suis moi aussi « Vieille France », du moins je l’espère.
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Le superficiel dans lequel nous vivons nous fait oublier la nature qui nous rappelle son existence.
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PARTAGE et BON SENS
A
l’heure où chacun de nous veut connaitre et cherche à s’informer de
notre futur proche, avec des élections qui seront sans doute agitées,
comment ne pas revenir à des bases de vie saines.
Malgré
les influences de toutes sortes, nous disposons de capacités réelles de
bon sens, de discernement, mais aussi de doutes, ce qui est naturel.
Dans
cette perspective de changements divers à venir se poser la simple
question de l’équilibre doit être le signe de la compréhension et est à
envisager.
L’amitié,
la charité, l’assistance, l’humanité doivent être partagées et non pas
souffrir d’un sens unique. Mais donner sans retour c’est supprimer une
harmonie. Prendre un don, accepter une aide doivent être un éveil de
conscience, une honnêteté.
Si
tout travail mérite salaire, tout salaire mérite travail. L’équilibre
est toujours un chiffre pair, signe de partage. Cette stabilité doit
être respectée pour l'estime l’un de l’autre en effaçant une ascendance
quelque qu’elle soit.
Tout est discutable et perfectible, que la logique de la raison et de l’humanité demeure pour le bien-être de chacun de nous.
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RECIPROCITE
L'honnêteté, la courtoisie doivent être de règle.
La vilenie, la fourberie, la duplicité seront écartées.
Être sincère n'est pas si difficile, alors soyons le.
Un simple accusé de réception ou un petit merci suffit souvent à établir une bonne entente.
INFLUENCES
Par toutes sortes de médias nous subissons des influences. Pour certaines personnes c’est même devenu un métier : influenceur. Fonction presque toujours négative pour le receveur car axé presque essentiellement pour le profit de l’agissant.
Il suffit de voir et entendre les dérives verbales ou financières de certains adeptes de cette exploitation sans discipline pour être séduits ou mal à l'aise.
Mais qu’est-ce qu’un influenceur ?
Dans certains dictionnaires c’est celui qui par une ascendance naturelle, une autorité, fait peser sur autrui son emprise, sa persuasion.
Parfois ces flux sont positifs dans la mesure où cette activité apporte du bon sens, du prestige, à tous, de l’efficacité autour de soi, sans mainmise ni tyrannie.
Certains pèsent aussi pour essayer d’être compréhensifs dans une action pour apporter un progrès, un bien être. Faire comprendre un message, une communication, ce qui pour certain semble une évidence est parfois mal accepté par ignorance, inexpérience ou dédain.
Chacun de nous est influent et est influencé. C’est un acte naturel d’échange. Comprendre cette relation est essentiel pour une harmonie dans le respect, et ce n’est pas si simple.
Un innocent merci peut apporter une influence.
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Le côté obscur de la Force
Par égocentrisme, l’homme peut devenir une bête féroce, prêt à tout pour dominer.
Quand le pouvoir est détenu par une seule personne, entourée de nombreux valets serviles, la dictature s’installe.
Tout contrôle sera autoritaire. Le despote impose son point de vue aux autres et sa façon de vivre, par la ruse ou la force.
La population et les opposants sont dans une crainte éternelle de représailles.
Celui qui évoque la démocratie, ou le simple dialogue est de suite condamné, sanctionné et ses recours sont sans appel.
Réduire à néant les idéologies des autres devient une routine dévastatrice d’aveuglement.
Ce régime de crainte apporte une angoisse permanente.
Éliminer des êtres anxieux pour une idéologie personnelle ne peut qu’être synonyme de morbide entreprise.
Par la flatterie on berce les esprits de notions perverses au profit d’un pouvoir individualiste malsain.
Pas d’ouverture vers la capacité d’apporter de l’espoir.
La rébellion arrive toujours mais pas sans l’inquiétude de tomber dans le pire.
Ces dirigeants égarés comprendront-ils un jour que vivre ensemble doit se faire par le partage pour le bien de tous.
Le côté belliqueux n’apporte rien au peuple, à contrario d’une évolution de l’esprit vers un calme serein bénéfique et intelligent. Il est où le bonheur ?
Apporter le savoir sous toutes ses formes, dans le respect d’autrui, ne peut qu’édifier un avenir d’ouverture vers la répartition de la sagesse.
De nos jours ces politiciens aveugles nuisent à leur pays et à eux-mêmes, mais changer, le veulent-ils ?
LA RELÈVE
Nous suivons tous le même parcours de vie : naissance,
adolescence, maturité, décès. Notre existence sera différente selon des
influences diverses, voulues ou pas, mais le cycle est identique pour chacun de
nous.
Durant ce passage nous suivrons une évolution de contraintes,
de bien-être, d’évasions différentes.
Dans notre société actuelle où la population s’accroît
lentement mais régulièrement, le partage du bien se réduit. C’est le gâteau
dont chaque part diminue au fur et à mesure que le nombre d’invités augmente.
L’évolution démographique est, pour certains, une force car elle
installe une présence envahissante difficile à maitriser et à normaliser, mais
susceptible de domination. Pour d’autres cette mutation est synonyme de
calamité incontrôlable.
Dans notre bienveillance nous offrons quelques assistances
qui semblent pourtant vaines. C’est une utopie de bonne conscience.
Chacun de nous a sa famille et espère le meilleur pour elle.
Cependant nos contacts sont de plus en plus gérés par la
transition actuelle de l’informatique qui ignore l’âme humaine et son esprit.
Qui de nous se déplace pour rencontrer ceux qui sont
« proches » ? Un mail, un appel téléphonique, quelquefois un
courrier, et c’est bien souvent la seule relation. Parfois certaines personnes sont
voisines de quelques rues et ne se rencontrent plus, ou rarement.
Le soi-disant progrès annihile par ses techniques insensibles nos communautés altruistes faites de serviabilité, d’indulgence, et même de noblesse.
Le besoin de « vivre vite et bien » est devenu une forme
d’indifférence vis-à-vis des autres et l’antisocial s’installe dans le silence.
Chaque ancienne génération a vu son évolution par le progrès. N’oublions pas ceux qui ont apporté le savoir et l’expérience de leurs conditions d’actions variées diverses, professionnelles, familiales, ou autres.
Il faut
rester dans la continuité du respect des anciens comme devrait s’installer
aussi celui du futur de la génération actuelle.
Nos racines quelles qu’elles soient sont à protéger par civilité partagée
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L’indécence du pouvoir
De nos jours, nombre de tyrans, despotes, dictateurs
utilisent la peur pour imposer leur présence, avec l’aide d’un entourage zélé,
craintif car lui-même en surveillance permanente.
Ces gouvernants ne voient que leur propre intérêt, par orgueil,
en œuvrant pour préserver des idées conservatrices d’un passé révolu, ou par
arrivée et obtention d’une puissance à conserver par la fourberie et
l’hypocrisie.
Toute une troupe de spéculateurs opportunistes vont adhérer à
ce mouvement de domination. Avec des conséquences négatives pour le bien public
et aussi pour préserver leurs positions dans une hiérarchie dégénérescente.
Cette accumulation de permanente tension de contrôle servile,
à tous les niveaux, profite à l’autorité placée au sommet de la pyramide.
Lors, le pays est soumis à un climat de crainte qui oblige à s’aliéner.
Les conflits deviennent nombreux et sous prétexte de sécurité sont enrôlé toute
une jeunesse avilie, obligatoirement obéissante.
Il s’ensuit des carnages, guerres, provocations qui
n’apportent que de la désolation. Sous couvert de protéger la patrie, de
conserver une certaine sécurité, des générations quitteront le monde sans réel
explication des causes de ces mouvements meurtriers.
Alors que sur terre, le climat se détériore et apporte des
troubles sans opposition, car naturels, le sort de chacun devrait être un bien
être de vivre sans craintes. La nature n’a pas besoin de l’homme, celui-ci est en
autodestruction par ses conflits sans fin en plaçant des intérêts personnels
avant ceux de la population.
Il n’est qu’à voir les dommages, ravages, catastrophes que
notre système climatique nous fait subir pour essayer de se défendre contre ces
désordres. Utiliser l’intelligence humaine devrait se faire pour conforter la
vie quotidienne de tous et non pas pour répandre la crainte d’un avenir dirigé
par quelques absolutistes hypocrites.
LE COULOIR
Chacun de nous a son chemin de vie et cet espace « temps » se déroule, pour tous, d’une manière différente. De multiples comparaisons, avec le quotidien, nous amènent à suivre cet itinéraire du mieux qu’on le peut. Pas toujours de gré et avec des influences diverses plus ou moins bénéfiques.
Pour certains tout sera rose, mais c’est assez exceptionnel. Tant d’aléas surgissent fortuitement, induits par la vanité ou la jalousie humaine, parfois aussi par des actes ou événements totalement inattendues. A la naissance apparait un tracé qui ressemble à un couloir dans un logement. Il faudra le suivre pour avoir l’espoir d’une vie sereine.
C’est tout droit. Mais en cheminant apparait de chaque côté des portes avec derrière chacune d’elles, du bonheur ou son contraire. Quelques-unes s’ouvriront sur des satisfactions, des joies, de la sérénité et d’autres apporteront de la détresse, de la malchance ou de la disgrâce. Que ces accès soient à droite ou à gauche n’a pas d’importance, l’essentiel c’est d’essayer de les ouvrir avec calme sans appréhension, ce qui n’est pas toujours simple. Elles peuvent aussi s’ouvrir toutes seules.
On peut passer devant sans s’arrêter et rester ainsi dans l’ignorance, mais que serait une existence sans vie. Le bout du couloir sera l’évasion finale, sans retour. Même si certaines ouvertures semblent à risques, plus elles seront nombreuses, plus la destinée devrait être longue. Et la vie avec ses embarras naturels, ne devrait pas subir ceux provoqués par la perversité et la malveillance humaines.
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L’ART
D’ETRE VIEUX
Vieillir quelle misère !
Et pourtant, c’est aussi la vie.
Bien sûr, le corps a parfois des difficultés à suivre, mais
le mental est plus souvent intact et aide le physique.
Tout le monde désire voir ses dernières années d’existence sereines.
Profitez au mieux de ces jours, mois ou années est un souhait.
Des multiples aides existent, parfois prendre sur soi est suffisant.
La conscience que viendra un jour la fin est réaliste.
Aimons donc nos anciens comme ils ont aimé les leurs !
Actuellement, une vague de reproches sévit contre les
« séniors ».
Dans certains médias, on les prend pour des « benêts »
qui ne comprennent plus rien et qui sont des fardeaux.
De même résonnent certaines tendances, politiques ou
culturelles, ou aussi simplement des influences familiales.
L’évolution de la vie vers les techniques informatiques est
parfois difficile à assimiler ; pour les plus jeunes il en est parfois de
même.
La connaissance et l’expérience des « anciens » ne
sont pas à négliger.
Le déroulement d’une existence se fait continuellement par
une transformation de réception de la nouveauté.
Les vieux sont à oublier, à caser dans des maisons de
retraite, entend-on.
Ils ne sont aux yeux de certains que des sujets de dépenses parce
que non productifs.
Pourtant les vrais parasites sont ailleurs, regardez bien
autour de vous.
Nous sommes tous dans la vie qui ne devrait être qu’un
passage d’échanges de toutes sortes, pour le bien de tous.
Juin 2024
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L’ENTÊTEMENT
Nous sommes tous tributaires de notre personnalité. Dans une
existence, depuis l’enfance jusqu’au grand départ, nos réactions vis-à-vis des
autres ne sont pas toujours ce que nous voudrions qu’elles soient.
Dans la jeunesse, on s’égare pour s’affirmer avec des
conséquences maladroites et parfois même méchantes. C’est l’ignorance dans la
naïveté d’une vie débutante.
C’est ensuite une évolution souvent lente vers
l’indépendance. Pour certains cela peut se traduire par un refus de reconnaitre
une autorité même si elle est bienveillante. Alors s’obscurcit la vision de la
communauté et les dérives s’installent par des actes parfois faibles, parfois
hargneux.
Il y a heureusement une majorité de bonnes résolutions qui
fait comprendre que l’on n’est rien sans les autres et qu’il faut s’adapter au
système pour avancer ensemble.
Rien n’est simple. Une parole dite trop vite nous éloigne de l’autre.
Revenir n’est pas sans prendre sur soi pour un retour en compréhension
partagée. Et pourtant c’est ce qu’il faut faire.
Nous vivons dans un monde de contacts divers et souvent
permanents. La compréhension mutuelle est essentielle à apporter, sinon la
sérénité, au moins un apaisement dans la vie quotidienne.
Bien sûr, il y aura toujours des excès, soit par des gestes
ou des paroles et arriver à les juguler demande à chacun de nous une action
de bon sens pour un retour vers le calme.
Tendre la main vers l’autre n’est pas qu’un symbole, mais un
signe d’intelligence à partager.
Lorsque l’entêtement
est, soit politique, religieux, culturel, identitaire, voire relationnel dans
les commerces ou autres domaines divers, il reste un acharnement négatif, car
il est bien souvent source de conflit.
Mais il peut aussi être une ferveur à partager pour le bien être envers chacun de nous.
REPÈRES
Nous avons tous des repères, voulus ou pas.
Chacun depuis sa naissance va vivre avec un entourage humain et un environnement statique.
Après les premières années de vie, où déjà s’installe des habitudes, l’évolution apportera des nouveaux et divers discernements de placements réels ou subjectifs de l’existence.
L’enfant compte sur ses parents et principalement sur sa mère. Puis peu à peu il aura conscience de son existence en prenant des initiatives basées sur ce qui l’entoure.
Les bases de sa réalité seront souvent classiques comme le foyer, l’école et son chemin, la rue avec ses commerces ou ses maisons, squares et autres lieux insolites visuels.
Les contacts avec les autres seront soit amicaux, soit agressifs ou resteront dans l’ignorance. Mais ils seront effectifs.
Il y aura la famille avec sa diversité, les relations de travail et toute approche voulue ou non avec l’entourage quel qu’il soit.
Nous avons tous nos repères familiaux, professionnels, matériels, environnementaux et autres, comme la religion. Parfois certains seront malsains et à éliminer ou au contraire à développer.
Ce sera une question de bon-sens, vaste sujet.
Quoi qu’il en soit la vie nous cerne chaque jour de moments, de lieux, de contacts divers que nous ne pouvons pas éviter. C’est ainsi, même si parfois on voudrait ne pas les connaitre.
Mais la stabilité morale et physique sera rassurée avec l’entourage que nous avons tous autour de nous et en nous.
LA LIBERTÉ DE L’HUMAIN
Avec le sentiment de vivre en permanence sous contrôle, la liberté est-ce de ne dépendre de personne ? Ni d’une mécanique ?
Doit-on s’affranchir des règles de vie en communauté, faire ce qu’il nous plait en respectant ou non l’autre ?
Avec l’évolution constante et rapide de la technique scientifique la notion de liberté nous enferme sous couvert de sécurité.
Mais n’est-ce pas là, au contraire, une emprise de notre pensée personnelle vers une autre soi-disant universelle ?
 chaque instant nous sommes suivis, épiés, contrôlés.
Subrepticement, les téléphones, les soins médicaux, les immeubles et routes sécurisés, les grands espaces avec les caméras, les techniques diverses et nombreuses de l’électronique, nous guettent, nous voient, nous enregistrent.
Aussi ne soyons pas étonnés de certaines réticences à suivre cette mutation de notre vie quotidienne.
L’humain disparaît peu à peu et le moteur de la machine va encore tourner longtemps pour le soumettre.
La guerre du futur sera celle de l’homme face à l’artificiel électronique
Les pensées naturelles seront remplacées par des subterfuges commandés et basés sur des ressources de données diverses de rendement soi-disant au profit de tous.
Viendra le jour où des machines construiront des machines en oubliant leurs premiers créateurs, l’Homme.
Sans verser dans la vision de l’inexistence de notre âme, sachons reconnaitre les bienfaits de certaines évolutions que nous pouvons encore maitriser.
C’était mieux avant
Bien souvent on entend ou on peut lire cette phrase. C’est un ressentiment d’une période personnelle révolue que beaucoup d’entre nous regrette.
L’évolution dans le progrès nous fait oublier, un tant soit peu, les années passées qu’elles soient proches ou lointaines.
La vie d’autrefois semblait plus simple car dépendante des êtres humains et beaucoup moins de la technique électrique avec ses diverses applications.
Avec l’amélioration du quotidien pour le confort, en constante progression, apportant ainsi une aisance vers toutes sortes de taches, des appareils sont inventés soi-disant pour la facilité au quotidien, mais qui cache une dépendance pas toujours faste.
Tous les domaines sont revus, améliorés, parfois détruits pour un renouveau, qui ne correspond pas souvent à l’attendu. Chacun de nous vit avec des images de ce que fut sa vie dans ses premières années, avec aussi l’influence des parents, et accepter cette mutation n’est pas toujours simple.
Mais en réalité c’est surtout et principalement le souvenir de sa jeunesse qui apporte un regret.
Le modernisme va correspondre à l’enfant qui commence son existence. A son tour il aura des réflexions sur ce que sera son avenir avec son environnement terrestre et sa destinée d’être humain.
En conséquence il y aura toujours des :
C’était mieux avant
C’était une belle époque
LE BONHEUR
Tout autour de nous la recherche du bonheur est présente. Que ce soit en famille, entre amis, par tous les médias.
Que l’on regarde les spots publicitaires à la télévision, que l’on écoute les chansons actuelles, que l’on se rencontre dans diverses manifestations associatives ou non, cette quête est toujours présente.
A chacun de se mettre en question sur sa volonté pour cette route.
Tout un panel de voies s’offre dans cette poursuite. Dans la mesure du possible pour apporter aussi du retour dans la satisfaction d’une certaine utilité à partager.
Le bonheur est une affaire de volonté, soit personnelle, soit collective.
Ce vaste sujet vers la félicité est assujetti à de multiples discernements. Aller vers la souffrance pour se rendre apaisé est une dérive malsaine.
La chance peut apporter le bonheur. Et les hasards aussi, même si son mérite personnel est dévalué.
Chacun de nous aspire à bénéficier de cet enchantement.
Mais comment s’enrichir de cette félicité ? Sans partage, la recherche n’est pas stérile mais la réciprocité se doit d’exister pour un mutuel plaisir. Donner sans recevoir peut être frustrant même si on n’en n’attend rien. Parfois un simple mot suffit à apporter un sourire.
Avec le bon sens comme compagnon, le bonheur s’épanouit et se diffuse. Pour ceux qui le cherchent toujours, il finira bien par arriver.
Sachons suivre cette ligne de conduite dans le respect de tous.
Comment commencer une lettre à laquelle on pense depuis longtemps. Les mots et les idées sont en pagaille. L’esprit s’embrouille. Et pourtant tout converge vers ce qui dérange. L’être humain est en éternel combat. Il recherche la compréhension, la réponse à ses questions, et cela le mine. Par quel chemin doit-il aller pour sa sérénité ? Son apaisement ?
Comment trouver les mots qui intéressent ? Doit-on tout écouter ? Envahis par les paroles provenant de partout faut-il trier ? Et souvent faire le sourd !
Comment agir sans blesser ? Une réflexion, une parole parfois anodine peuvent choquer et cloitrer les élans de l’un envers l’autre. Tendresse et amour que devenez-vous ?
Comment recommencer une vie sans étreinte ? Celle qui vous remue et vous reste pantois. Même platoniques les émois vous figent et vous enchantent aussi. L’autre est là et c’est l’essentiel.
Comment se contenter d’un épisode fugace ? L’homme est-il si nul que l’indifférence l’accable ?
Comment se faire comprendre par un geste, un regard ? Pour qu’un instant soit merveilleux de compréhension mutuelle.
Donner son temps, ses pensées, pour retrouver une communion, est-ce donc si difficile ?
Par une erreur immense une vie est gâchée. Comment quitter l’espace où le temps s’est figé ?
Comment être insensible aux élans généreux ?
La vie est faite de déclics.
Comment être quelqu’un sans les autres ?
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PARAITRE
Que de chemins différends à partir de ce verbe
La
définition la plus courante est : se faire remarquer objectivement
Dans les
autres directions plusieurs interprétations
Apparaitre
serait le simple fait d’arriver en étant attendu ou non
Par
l’éclosion un bourgeon apparait
On peut
paraitre par un mot, un geste au cours d’une manifestation, qu’elle soit
familiale, professionnelle ou autre
Chacun de
nous à un moment ou à un autre a été apparent, parfois par esprit créatif mais
quelquefois aussi par stupidité
Dans la
vie quotidienne il y a ceux qui le sont par habitude sans ruse ou subtilité,
d’une manière naturelle et d’autres qui en font un négoce afin d’en tirer un
profit, ambitieux, lucratif ou avilissant
Devant la
multitude de cheminements ou de vagabondages à explorer, le bon sens nous
dirige vers l’emploi le plus approprié de ce verbe
Conclusion :
Paraissez
avec paresse
Ou
Paressez
sans y paraitre
Reste
notre belle langue française
Après une vie de travail, de conseils reçus et donnés, de contacts avec la famille et amis, des espaces de proximité et d’éloignement dans les rapports professionnels et autres, avec les aléas d’une existence, vient à un moment la question de savoir si on a été utile à ses proches, à son entourage, arrogant ou méprisant avec certains, maladroit parfois par ignorance, ou consciemment condescendant pour éviter un dialogue.
Pourtant il faut peu de chose pour créer un relationnel sympathique ou diplomatique afin d’éviter une tension, une désagréable sensation d’oubli qui ressemble à du mépris. Un simple merci peut suffire même si le don, parfois ordinaire, peut sembler insignifiant ou inintéressant. C’est aussi une question de politesse.
Il est bien évident qu’on ne peut pas plaire à tout le monde autour de soi et même avec des efforts, des approches courtoises, on ne sera jamais accepté. Si on a des responsabilités cela peut devenir vite difficile, malgré du bon sens, de l’écoute, et rien de concret ne se manifeste.
On est jugé sur des aprioris, des ragots et médisances, sur son physique malgré une main tendue. Reconnaitre la valeur des autres est un signe de partage intelligent.
Avec les années on essaie d’être serein, objectif, sélectif et sans vouloir faire la personne peu intéressée, il ne faut pas rester sans retour, même insignifiant. Les difficultés que nous avons tous dans la vie sont là pour nous rappeler combien est vain la polémique.
Sans être obséquieux, lointain, nous sommes tous liés par toutes sortes de relations, et sans être proches nous devons respecter l’entourage en souhaitant une réciprocité.
__________Malgré des similitudes dans les réactions devant les hasards, incertitudes ou convictions, les réactions varient d’une personne à l’autre.
Avec les influences, néfastes, et rarement positives, nous subissons tous des conséquences qui nuisent ou instruisent nos réflexes.
Arrive le moment où réagir devient nécessaire. C’est soit par une bonne réalité encourageante ou soit par un repli dégradant ou craintif.
Personne ne peut savoir comment finira sa vie.
Après le grand départ, peu à peu l’oubli s’installe. Les générations se suivent et l’érosion du passé de nos ancêtres installe l’anonymat. Qui se souvient vraiment de ses origines, de ses racines ?
Cette méconnaissance n’est pas forcément utile à être dévoilée. Le passage de sa vie n’est qu’un sursis que l’on transmet ou pas.
Dans les cimetières nombre de sépultures sont abandonnées. La mutation, l’exil, la dispersion de la famille, ou son extinction, explique ce fait.
Que vous fussiez discret, dans le rang, ou un personnage avec une notoriété, viendra le moment où ne survivra plus rien. C’est ainsi pour la grande majorité d’entre nous.
Ce n’est pas forcément négatif. Donner pour les autres est un
bien salutaire avec un petit espoir de retour jamais déclaré mais souhaité au
fond de soi.
L'OUBLI
Mais c’est ainsi et l’expression, loin des yeux loin du cœur, s’applique inéluctablement.
La vie passe vite et soit on en profite par égoïsme, donc misérablement, soit on partage avec des satisfactions et parfois quelques déceptions.
Les évasions les plus récentes sont bien souvent liées à l’informatique, immense ouverture sur le monde, pas toujours simple mais qui continuera son développement inévitablement. Chacun de nous doit s’y faire même par désintérêt car c’est l’avenir.
Pour rappel le gestionnaire avait élaboré et tenu pendant plusieurs années auparavant une vitrine sur internet, concernant une association laneuvevilloise, ouverture qui apportera plus de 25 000 visites sans avoir beaucoup d'encouragements malgré une richesse de travail et de diffusion faites par plusieurs rédacteurs férus d'Histoire locale.